L'association, le Relais Sénégal, a décidé en 2011 de lancer dans le petit village de Terokh, un jardin maraîcher pour créer des emplois.
Grâce à ce projet, pas moins de 20 à 30 personnes parviennent à gagner au fil des ans, des revenus mensuels et réguliers (en Afrique, un salaire permet de faire vivre 4 à 5 personnes).
Pour avoir de beaux légumes, il faut de l'eau. Or le Relais Sénégal la puise dans un forage, et cela ne se fait pas sans énergie !
Le problème c'est que 80 % de l'électricité du Sénégal est créée à partir de produits pétroliers importés et que le coût de l’énergie nécessaire pour l'irrigation ne permet pas à ce projet d’avoir une autonomie financière.
Dans le but de réduire ses coûts d’irrigation, d’année en année, le projet maraîcher doit donc diminuer ses surfaces cultivables et licencier des ouvriers agricoles.
Pour assurer un futur serein, aussi bien sur le plan humain qu'environnemental, le jardin a donc besoin de panneaux solaires alimentant les pompes d’irrigation.